La Forcer AéRégion équatorienne diplôméó aux deux premières femmes pilotes de chasse du paysís dans le cadre de la promotionón 65 depuis EAF.
Un fait nouveau se produit dans la Force Aérea previo a celebrar su aniversario 100 de existencia y marcando también, un positivo precedente en la igualdad de género e impulsar que más mujeres sean parte de la aviación.
Premières femmes pilotes de chasse
Dans l'aile de combat No.. 23 situé dans le Aéroport international de Manta, cuatro aviones A-29B Super Tucano de la Fuerza Aérea Ecuatoriana fueron los encargados de realizar la apertura de la ceremonia de graduación de los pilotos “Listos para el Combate 2”, dirigé par le commandant général FAE, Lieutenant-général Mauricio Campuzano.
Dans l'avion qui l'escortait, se encontraban las tenientes Maríun Sié Cueva (Quito, 26 uneños) yazmínPérez (Otavalo, 28 uneños), que se gradúan como las Primeras Mujeres Pilotos de Combate del país, lo que marca un antes y un después en la Fuerza AéRégion Équateur.
une fois sur terre, se réaliseó la entrega de los certificados a los ocho oficiales pertenecientes a la promoción 65, de quienes Maríun Sié yazmín son parte, y que alcanzan nuevas calificaciones operativas para desde hoy sumarse a los “Halcones” de la Force Aérea Ecuatoriana para proteger la soberaníau papaís.
Après une formation longue et exigeante, l'actuel lieutenant pilote,que requirió más de 300 horas de entrenamiento teórico – técynique, más de 30 horas de prácticas en simulador de vuelo con prácticas de procedimientos, opérationón militar y emergencias, más las requeridas 60 heures de vols dans l'équipement correspondant, permitieron a Maríun Sié y Jazmin cumplir sus objetivos.
Ils ont commencé leur carrière de pilote 8 uneñthéâtreás en la escuela de pilotos Cosme Renela de la Fuerza Aéréel, situé à l'aéroport de Salinas, Province de Santa Elena. Ahí, junto con sus compañeros de promoción, ils sont passés par plusieurs étapes et processus de formation, jusqu'à piloter l'avion Super Tucano comme formation finale pour atteindre le grade de pilote de chasse.
Tant mieux pour ces jeunes pilotes pour leur carrière, mais en ce qu'ils contribuent à l'économie ou au progrès du pays, ce sont des personnels qui dépendent d'un conflit de guerre pour que leurs besoins puissent être évalués, situation très, très improbable sur la base des derniers accords de paix avec le Pérou et d'autres pays limitrophes de l'Équateur, en attendant, ils ne sont qu'un fardeau économique pour l'héritage national qui est tellement dépensé et pillé par de mauvais politiciens